AIL ET CITRON
RECETTE CONTRE L'ARTÉRIOSCLÉROSE, VENUE DE RUSSIE
Attention, lorsqu’on a consommé des agrumes, dont le citron, on peut se rincer la bouche à l’eau, mais avant de se brosser les dents et d’utiliser du dentifrice, il faut attendre 40 minutes. En effet la couche superficielle de l’émail est attaquée par les agrumes, puis elle se reforme naturellement sous l’action de la salive, à condition de laisser celle-ci agir pendant le temps nécessaire.
30 gousses d'ail de taille moyenne (bio bien sûr), pelées. 5 citrons naturels non pelés, détaillés en petits morceaux.
Réduire le tout en purée au mixeur, ajouter un litre d'eau et porter à ébullition (un seul bouillon!). Passer à la passoire et verser dans une bouteille. Laisser refroidir, conserver au réfrigérateur. Prendre un petit verre par jour avant ou après le repas principal. Au bout de trois semaines de prise quotidienne, les adeptes assurent avoir observé une régénération de leurs corps, leur apportant jeunesse et bien-être, véritable cure de jouvence.
L'artériosclérose et ses effets par exemple sur les capacités visuelles et auditives, diminue, voir disparaît totalement.
Nous recommandons une prise durant trois semaines, une semaines de pause, puis un deuxième cycle de trois semaines afin d'assurer un effet remarquable. Répéter cette cure peu onéreuse et tout à fait saine et efficace au moins deux fois par an ( au printemps et en automne). N'ayez aucune crainte quant à l'haleine désagréable due à la prise d'ail, le goût est en effet neutralisé par les citrons. Les effets de l'ail et du citron sont fulgurants. Les personnes atteintes d'artériosclérose retrouvent le sommeil, l'apaisement intérieur etc. une femme a même pu échapper à une opération du cœur prévue car la graisse contenue dans le sang et l'artériosclérose s'étaient résorbées. Pour les problèmes de parodontose, le breuvage d'ail et citron a fait ses preuves ( à conseiller également pour la prévention). Les témoignages concernant cette recette sont tellement louangeux que nous comptons sur vous pour communiquer cette recette à beaucoup de personnes que ce remède simple pourra soulager.
L'ail :une nouvelle arme contre le cancer
Une nouvelle approche utilisant certaines propriétés chimiques de l'ail pourrait servir au traitement du cancer. Voilà ce que suggère une équipe de chercheurs israéliens dont les travaux viennent d'être publiés dans la revue Molecular Cancer Therapeutics (Miron, T. et coll. 2003 ; 2 : 1295-301).
Les chercheurs ont mis à profit la toxicité dose-dépendante bien connue in vitro de l'allicine (thiosulfinate de diallyle) envers les cellules de mammifères pour mettre au point une nouvelle façon de stopper la croissance des cellules tumorales.
L'allicine, un composé hautement actif dans les extraits d'ail fraîchement écrasé, résulte de l'interaction de l'alliine, un acide aminé, avec l'enzyme alliinase. L'enzyme est chimiquement associée à un messager dirigé contre un marqueur spécifique de la tumeur. Lorsque le complexe enzyme-messager est lié aux cellules tumorales cibles, l'alliine (le substrat) est alors ajouté, menant à la production localisée d'allicine. Cette dernière exerce in situ une forte activité antitumorale sans affecter les autres tissus sains en raison, notamment, de la nature inerte de l'alliine et du taux élevé de clairance de l'allicine. L'effet sur l'arrêt de la croissance de la tumeur devient significatif après deux semaines et il continue d'augmenter jusqu'à atteindre une inhibition hautement significative une semaine plus tard. Dix jours après la fin du traitement, l'inhibition de la croissance tumorale reste inchangée.
Document réactualisé le 15-01-2010
L'expérience, qui a été réalisée avec un modèle animal (souris de laboratoire), s'avère être un succès pour les cancers de l'estomac. Reste à savoir si l'approche sera tout aussi efficace chez l'homme et pour d'autres cancers.
Les Éditions Santé Rogers Media 2004
L’ail, un protecteur méconnu du cancer
L’ail appartient au groupe des plantes alliacées. Elle contient l’allicine, utilisée pour ses vertus pharmaceutiques (antibiotiques et antithrombotiques) depuis des siècles. De nombreuses propriétés pharmacologiques lui sont attribuées : actions hypocholestérolémiante, anticoagulante, antioxydante, antibactérienne, antivirale et anticancérigène. L’administration de fortes doses d’ail à des rongeurs inhibe la formation de tumeurs.
L’ail augmente le temps de latence (temps que met la tumeur à se développer) et diminue l’incidence des tumeurs mammaires chez des rats ayant reçu le composant organosulfuré de l’ail sous forme de poudre d’ail (2 à 4% dans un régime).
Bien que la spécificité des composés organosulfurés n’ait pas été identifiée, l’extrait d’ail concentré inhibe la croissance des tumeurs transplantées ou chimiquement amorcées lorsqu’elle est administrée par voie orale chez la souris et le rat. 20 g/kg d’extrait d’ail inhibent la fixation sur l’ADN d’un toxique responsable de tumeurs dans le tissu mammaire.
Elle a des effets anti-initiateurs du cancer de différents organes (estomac, œsophage, foie, poumon, sein).
Des études faites en Chine, où le taux de mortalité par cancer de l’estomac est particulièrement élevé, ont montré que les sujets consommant de l’ail ont des risques inférieurs aux autres de développer un cancer de l’estomac.
Son effet anti-promoteur, en revanche, reste controversé. L’injection péritonéale d’ail concentrée suivie d’une injection de cyclophosphamide (un immunodépresseur) et, 14 jours plus tard, de cellules tumorales a été comparée à l’injection de cellules tumorales et d’ail. Les souris ayant reçu l’extrait d’ail et le cyclophosphamide survivent plus longtemps que celles qui n’ont reçu que l’extrait. Le résultat de cette étude montre que l’extrait d’ail protège les cellules normales contre les agents cytotoxiques.
Elle a des effets anti-initiateurs du cancer de différents organes (estomac, œsophage, foie, poumon, sein). Des études faites en Chine, où le taux de mortalité par cancer de l’estomac est particulièrement élevé, ont montré que les sujets consommant de l’ail ont des risques inférieurs aux autres de développer un cancer de l’estomac.
Son effet anti-promoteur, en revanche, reste controversé. L’injection péritonéale d’ail concentrée suivie d’une injection de cyclophosphamide (un immunodépresseur) et, 14 jours plus tard, de cellules tumorales a été comparée à l’injection de cellules tumorales et d’ail. Les souris ayant reçu l’extrait d’ail et le cyclophosphamide survivent plus longtemps que celles qui n’ont reçu que l’extrait. Le résultat de cette étude montre que l’extrait d’ail protège les cellules normales contre les agents cytotoxiques. NUTRANEWS
Flavonoïdes. Le citron et la lime renferment différents types de flavonoïdes. Ces derniers sont des antioxydants puissants qui permettent de neutraliser les radicaux libres du corps et, ainsi, prévenir l’apparition des maladies
cardiovasculaires, de cancers et de maladies liées au vieillissement. Les principaux flavonoïdes contenus dans le citron et dans la lime sont l’ériocitrine et l’hespérétine. Dans le citron, la partie blanche de la pelure est celle qui contient le plus de ces flavonoïdes, la pulpe et la chair du fruit en contenant
moins. Cancer. En plus de son action antioxydante, l’ériocitrine du citron pourrait induire l’apoptose (mort cellulaire) de cellules leucémiques in vitro. Notons que d’autres flavonoïdes des agrumes ont démontré des effets antiprolifératifs in vitro contre plusieurs lignées de cellules cancéreuses. Ces propriétés des flavonoïdes du citron pourraient potentiellement servir à l’élaboration de thérapies antitumorales; les recherches se poursuivent en ce sens.
Cancer. Les limonoïdes des agrumes ont démontré des effets anticancer in vitro, diminuant la prolifération de cellules cancéreuses du sein et conduisant à l'apoptose de cellules neuroblastiques cancéreuses (cellules nerveuses
embryonnaires, se différenciant ensuite en neurones). Ces effets ont été confirmés chez l’animal au cours de différentes études. En effet, la limonine et la nomiline pouvaient ainsi inhiber le développement de cellules cancéreuses, et ce, par différents mécanismes. L’obacunone, un autre type de limonoïde, s’est avéré efficace pour diminuer l’incidence de tumeurs du côlon et pour diminuer le nombre de tumeurs de la bouche chez l’animal. L’action synergique de plusieurs limonoïdes entre eux, ou de ceux-ci avec d’autres composés (tels les
flavonoïdes), pourrait accentuer leur action sur les cellules cancéreuses. Ces études laissent présager un effet potentiellement préventif du cancer chez l’animal par les limonoïdes des agrumes, mais il n’existe aucune donnée quant un effet similaire chez l’humain.
Décharge de Responsabilité. Ce dossier n'est qu'une simple information. Il n’a aucune valeur médicale, donc aucune valeur de diagnostic et de ce fait ne dispense nullement la consultation de son médecin.
Comme d'habitude, cet article est purement informatif. Chaque lecteur demeure donc, en fonction de son propre discernement, personnellement et intégralement responsable de l'usage qu'il en fera ou n'en fera pas. Si vous êtes malade, veuillez consulter votre médecin
Toutes les informations relatives aux Moyens et Produits Naturels de Santé se trouvant sur le présent dossier, sont données gracieusement à titre d'information et d'éducation des lecteurs et du public en général, dans une optique de prévention et d'invitation à la prise en charge de sa santé individuelle par soi-même.
Il s'agit de cultiver par la Prévention, le Respect du corps en Bonne Santé. Elles ne constituent jamais, en aucun cas, une démarche de diagnostic ou de traitement des maladies.
Les informations données ne prétendent pas avoir de valeur probante dans le domaine scientifique ou médical. Elles sont données de bonne foi, dans un but d'être utiles aux personnes, capables d'autonomie, en quête de Santé naturelle, et elles sont mises à jour en fonction des expérimentations individuelles progressivement disponibles.
Chacun qui utilise à son profit les informations données le fait donc sous sa propre responsabilité et doit à chaque fois, faire preuve du plus grand discernement. Je n'assume, bien évidemment, aucune responsabilité d'ordre médical. Les personnes malades sont invitées à consulter un médecin.
Document réactualisé le 15-01-2010
RECETTE CONTRE L'ARTÉRIOSCLÉROSE, VENUE DE RUSSIE
Attention, lorsqu’on a consommé des agrumes, dont le citron, on peut se rincer la bouche à l’eau, mais avant de se brosser les dents et d’utiliser du dentifrice, il faut attendre 40 minutes. En effet la couche superficielle de l’émail est attaquée par les agrumes, puis elle se reforme naturellement sous l’action de la salive, à condition de laisser celle-ci agir pendant le temps nécessaire.
30 gousses d'ail de taille moyenne (bio bien sûr), pelées. 5 citrons naturels non pelés, détaillés en petits morceaux.
Réduire le tout en purée au mixeur, ajouter un litre d'eau et porter à ébullition (un seul bouillon!). Passer à la passoire et verser dans une bouteille. Laisser refroidir, conserver au réfrigérateur. Prendre un petit verre par jour avant ou après le repas principal. Au bout de trois semaines de prise quotidienne, les adeptes assurent avoir observé une régénération de leurs corps, leur apportant jeunesse et bien-être, véritable cure de jouvence.
L'artériosclérose et ses effets par exemple sur les capacités visuelles et auditives, diminue, voir disparaît totalement.
Nous recommandons une prise durant trois semaines, une semaines de pause, puis un deuxième cycle de trois semaines afin d'assurer un effet remarquable. Répéter cette cure peu onéreuse et tout à fait saine et efficace au moins deux fois par an ( au printemps et en automne). N'ayez aucune crainte quant à l'haleine désagréable due à la prise d'ail, le goût est en effet neutralisé par les citrons. Les effets de l'ail et du citron sont fulgurants. Les personnes atteintes d'artériosclérose retrouvent le sommeil, l'apaisement intérieur etc. une femme a même pu échapper à une opération du cœur prévue car la graisse contenue dans le sang et l'artériosclérose s'étaient résorbées. Pour les problèmes de parodontose, le breuvage d'ail et citron a fait ses preuves ( à conseiller également pour la prévention). Les témoignages concernant cette recette sont tellement louangeux que nous comptons sur vous pour communiquer cette recette à beaucoup de personnes que ce remède simple pourra soulager.
L'ail :une nouvelle arme contre le cancer
Une nouvelle approche utilisant certaines propriétés chimiques de l'ail pourrait servir au traitement du cancer. Voilà ce que suggère une équipe de chercheurs israéliens dont les travaux viennent d'être publiés dans la revue Molecular Cancer Therapeutics (Miron, T. et coll. 2003 ; 2 : 1295-301).
Les chercheurs ont mis à profit la toxicité dose-dépendante bien connue in vitro de l'allicine (thiosulfinate de diallyle) envers les cellules de mammifères pour mettre au point une nouvelle façon de stopper la croissance des cellules tumorales.
L'allicine, un composé hautement actif dans les extraits d'ail fraîchement écrasé, résulte de l'interaction de l'alliine, un acide aminé, avec l'enzyme alliinase. L'enzyme est chimiquement associée à un messager dirigé contre un marqueur spécifique de la tumeur. Lorsque le complexe enzyme-messager est lié aux cellules tumorales cibles, l'alliine (le substrat) est alors ajouté, menant à la production localisée d'allicine. Cette dernière exerce in situ une forte activité antitumorale sans affecter les autres tissus sains en raison, notamment, de la nature inerte de l'alliine et du taux élevé de clairance de l'allicine. L'effet sur l'arrêt de la croissance de la tumeur devient significatif après deux semaines et il continue d'augmenter jusqu'à atteindre une inhibition hautement significative une semaine plus tard. Dix jours après la fin du traitement, l'inhibition de la croissance tumorale reste inchangée.
Document réactualisé le 15-01-2010
L'expérience, qui a été réalisée avec un modèle animal (souris de laboratoire), s'avère être un succès pour les cancers de l'estomac. Reste à savoir si l'approche sera tout aussi efficace chez l'homme et pour d'autres cancers.
Les Éditions Santé Rogers Media 2004
L’ail, un protecteur méconnu du cancer
L’ail appartient au groupe des plantes alliacées. Elle contient l’allicine, utilisée pour ses vertus pharmaceutiques (antibiotiques et antithrombotiques) depuis des siècles. De nombreuses propriétés pharmacologiques lui sont attribuées : actions hypocholestérolémiante, anticoagulante, antioxydante, antibactérienne, antivirale et anticancérigène. L’administration de fortes doses d’ail à des rongeurs inhibe la formation de tumeurs.
L’ail augmente le temps de latence (temps que met la tumeur à se développer) et diminue l’incidence des tumeurs mammaires chez des rats ayant reçu le composant organosulfuré de l’ail sous forme de poudre d’ail (2 à 4% dans un régime).
Bien que la spécificité des composés organosulfurés n’ait pas été identifiée, l’extrait d’ail concentré inhibe la croissance des tumeurs transplantées ou chimiquement amorcées lorsqu’elle est administrée par voie orale chez la souris et le rat. 20 g/kg d’extrait d’ail inhibent la fixation sur l’ADN d’un toxique responsable de tumeurs dans le tissu mammaire.
Elle a des effets anti-initiateurs du cancer de différents organes (estomac, œsophage, foie, poumon, sein).
Des études faites en Chine, où le taux de mortalité par cancer de l’estomac est particulièrement élevé, ont montré que les sujets consommant de l’ail ont des risques inférieurs aux autres de développer un cancer de l’estomac.
Son effet anti-promoteur, en revanche, reste controversé. L’injection péritonéale d’ail concentrée suivie d’une injection de cyclophosphamide (un immunodépresseur) et, 14 jours plus tard, de cellules tumorales a été comparée à l’injection de cellules tumorales et d’ail. Les souris ayant reçu l’extrait d’ail et le cyclophosphamide survivent plus longtemps que celles qui n’ont reçu que l’extrait. Le résultat de cette étude montre que l’extrait d’ail protège les cellules normales contre les agents cytotoxiques.
Elle a des effets anti-initiateurs du cancer de différents organes (estomac, œsophage, foie, poumon, sein). Des études faites en Chine, où le taux de mortalité par cancer de l’estomac est particulièrement élevé, ont montré que les sujets consommant de l’ail ont des risques inférieurs aux autres de développer un cancer de l’estomac.
Son effet anti-promoteur, en revanche, reste controversé. L’injection péritonéale d’ail concentrée suivie d’une injection de cyclophosphamide (un immunodépresseur) et, 14 jours plus tard, de cellules tumorales a été comparée à l’injection de cellules tumorales et d’ail. Les souris ayant reçu l’extrait d’ail et le cyclophosphamide survivent plus longtemps que celles qui n’ont reçu que l’extrait. Le résultat de cette étude montre que l’extrait d’ail protège les cellules normales contre les agents cytotoxiques. NUTRANEWS
Flavonoïdes. Le citron et la lime renferment différents types de flavonoïdes. Ces derniers sont des antioxydants puissants qui permettent de neutraliser les radicaux libres du corps et, ainsi, prévenir l’apparition des maladies
cardiovasculaires, de cancers et de maladies liées au vieillissement. Les principaux flavonoïdes contenus dans le citron et dans la lime sont l’ériocitrine et l’hespérétine. Dans le citron, la partie blanche de la pelure est celle qui contient le plus de ces flavonoïdes, la pulpe et la chair du fruit en contenant
moins. Cancer. En plus de son action antioxydante, l’ériocitrine du citron pourrait induire l’apoptose (mort cellulaire) de cellules leucémiques in vitro. Notons que d’autres flavonoïdes des agrumes ont démontré des effets antiprolifératifs in vitro contre plusieurs lignées de cellules cancéreuses. Ces propriétés des flavonoïdes du citron pourraient potentiellement servir à l’élaboration de thérapies antitumorales; les recherches se poursuivent en ce sens.
Cancer. Les limonoïdes des agrumes ont démontré des effets anticancer in vitro, diminuant la prolifération de cellules cancéreuses du sein et conduisant à l'apoptose de cellules neuroblastiques cancéreuses (cellules nerveuses
embryonnaires, se différenciant ensuite en neurones). Ces effets ont été confirmés chez l’animal au cours de différentes études. En effet, la limonine et la nomiline pouvaient ainsi inhiber le développement de cellules cancéreuses, et ce, par différents mécanismes. L’obacunone, un autre type de limonoïde, s’est avéré efficace pour diminuer l’incidence de tumeurs du côlon et pour diminuer le nombre de tumeurs de la bouche chez l’animal. L’action synergique de plusieurs limonoïdes entre eux, ou de ceux-ci avec d’autres composés (tels les
flavonoïdes), pourrait accentuer leur action sur les cellules cancéreuses. Ces études laissent présager un effet potentiellement préventif du cancer chez l’animal par les limonoïdes des agrumes, mais il n’existe aucune donnée quant un effet similaire chez l’humain.
Décharge de Responsabilité. Ce dossier n'est qu'une simple information. Il n’a aucune valeur médicale, donc aucune valeur de diagnostic et de ce fait ne dispense nullement la consultation de son médecin.
Comme d'habitude, cet article est purement informatif. Chaque lecteur demeure donc, en fonction de son propre discernement, personnellement et intégralement responsable de l'usage qu'il en fera ou n'en fera pas. Si vous êtes malade, veuillez consulter votre médecin
Toutes les informations relatives aux Moyens et Produits Naturels de Santé se trouvant sur le présent dossier, sont données gracieusement à titre d'information et d'éducation des lecteurs et du public en général, dans une optique de prévention et d'invitation à la prise en charge de sa santé individuelle par soi-même.
Il s'agit de cultiver par la Prévention, le Respect du corps en Bonne Santé. Elles ne constituent jamais, en aucun cas, une démarche de diagnostic ou de traitement des maladies.
Les informations données ne prétendent pas avoir de valeur probante dans le domaine scientifique ou médical. Elles sont données de bonne foi, dans un but d'être utiles aux personnes, capables d'autonomie, en quête de Santé naturelle, et elles sont mises à jour en fonction des expérimentations individuelles progressivement disponibles.
Chacun qui utilise à son profit les informations données le fait donc sous sa propre responsabilité et doit à chaque fois, faire preuve du plus grand discernement. Je n'assume, bien évidemment, aucune responsabilité d'ordre médical. Les personnes malades sont invitées à consulter un médecin.
Document réactualisé le 15-01-2010