19. QOF, le Soleil de Minuit
- Valeur numérique : 100, résonance avec Yod (10) et Aleph (1)
- Signe astrologique : Les Poissons
- Signification : Le Chas de l'Aiguille
- Rayonnement : Violet
- Année : février-mars
- Corps : l'estomac
Notions - Clefs :
- Reconnaître la beauté cachée dans les êtres ou les circonstances les plus difficiles à accepter
- Une aide précieuse pour voir et aimer le Divin en chacun
- Puissance de purification, de transmutation
- L'Amour absolu
Dans les plus noires profondeurs réside le mystère d'un incommensurable Amour, un coeur de lumière déposé là par l'Alchimiste Divin. C'est la grande Lettre Qof qui m'a fait toucher le plus loin l'incroyable Force d'Amour qui porte la création tout entière. Qof est la seule Lettre dont le dessin descend en-dessous de la ligne d'écriture.
Elle représente le chemin qu'emprunte la Lumière pour descendre dans les profondeurs de la Terre, dans les parties les plus denses de notre être, et même dans les plans vibratoires les plus lourds qui ont totalement oublié la moindre notion d'amour et d'unité. Aucun lieu n'existe, physique ou plus subtil, que l'Amour divin ne puisse atteindre, car dans les Profondeurs règne le Soleil de Minuit.
Si Qof vient à nous, lors d'un tirage ou par intuition, cela veut dire que l'Esprit nous invite à comprendre la force de vie qui réside dans les profondeurs de la Terre et de notre corps, et dans le monde physique en général.
Dans la matière la plus noire, dans les circonstances difficiles de la vie, une main d'Amour nous est tendue.
La lumière se révèle parfois là où l'on s'y attend le moins.
Qof est liée à Christ d'une façon spécifique, et régit d'ailleurs le signe zodiacal des Poissons.
Elle nous donne son enseignement alchimique qui ne nous demande pas de fuir la matière pour s'envoler vers la lumière, de rejeter Ce qui est en Bas pour ne vouloir que Ce qui est en Haut, mais au contraire de les unir dans une conscience nouvelle qui les éclaire et rectifie l'illusion de la dualité.
QOF permet de donner au corps humain une place essentielle, la perfection du corps de lumière, car la mort du corps est vaincue par la Résurrection.
QOF nous enseigne l'amour pour notre corps, ce temple vivant qui mérite de retrouver sa dimension vibratoire.
- Valeur numérique : 100, résonance avec Yod (10) et Aleph (1)
- Signe astrologique : Les Poissons
- Signification : Le Chas de l'Aiguille
- Rayonnement : Violet
- Année : février-mars
- Corps : l'estomac
Notions - Clefs :
- Reconnaître la beauté cachée dans les êtres ou les circonstances les plus difficiles à accepter
- Une aide précieuse pour voir et aimer le Divin en chacun
- Puissance de purification, de transmutation
- L'Amour absolu
Dans les plus noires profondeurs réside le mystère d'un incommensurable Amour, un coeur de lumière déposé là par l'Alchimiste Divin. C'est la grande Lettre Qof qui m'a fait toucher le plus loin l'incroyable Force d'Amour qui porte la création tout entière. Qof est la seule Lettre dont le dessin descend en-dessous de la ligne d'écriture.
Elle représente le chemin qu'emprunte la Lumière pour descendre dans les profondeurs de la Terre, dans les parties les plus denses de notre être, et même dans les plans vibratoires les plus lourds qui ont totalement oublié la moindre notion d'amour et d'unité. Aucun lieu n'existe, physique ou plus subtil, que l'Amour divin ne puisse atteindre, car dans les Profondeurs règne le Soleil de Minuit.
Si Qof vient à nous, lors d'un tirage ou par intuition, cela veut dire que l'Esprit nous invite à comprendre la force de vie qui réside dans les profondeurs de la Terre et de notre corps, et dans le monde physique en général.
Dans la matière la plus noire, dans les circonstances difficiles de la vie, une main d'Amour nous est tendue.
La lumière se révèle parfois là où l'on s'y attend le moins.
Qof est liée à Christ d'une façon spécifique, et régit d'ailleurs le signe zodiacal des Poissons.
Elle nous donne son enseignement alchimique qui ne nous demande pas de fuir la matière pour s'envoler vers la lumière, de rejeter Ce qui est en Bas pour ne vouloir que Ce qui est en Haut, mais au contraire de les unir dans une conscience nouvelle qui les éclaire et rectifie l'illusion de la dualité.
QOF permet de donner au corps humain une place essentielle, la perfection du corps de lumière, car la mort du corps est vaincue par la Résurrection.
QOF nous enseigne l'amour pour notre corps, ce temple vivant qui mérite de retrouver sa dimension vibratoire.
Tarot du Sépher de moïse, arcane majeur du livre de Thoth : le Soleil, Nombre 19, lettre hébraïque Koph.
Le Soleil.
Le Nombre 19.
Le Nombre Dix-Neuf, le Soleil dans le livre de Thoth, est aussi la planète Habel/Saturne. Et pour comprendre ce qui apparaît comme un paradoxe d’attribuer Saturne à la lame du Soleil, il convient de se rapporter au chapitre IV, des Tables de la Loi qui nous indique clairement qu’Habel est bel et bien le frère jumeau de Kaîn/Soleil le Nombre Quatre, et la lame Quatre, l’Empereur dans le livre de Thoth. Comme il est expliqué dans ce chapitre, Kaîn/Soleil n’a pas tué Habel/Saturne, et comment pourrait-on tuer ce qui par essence est immortel..., mais il l’a sorti de la sphère organique temporelle en passant de l’homogène à l’hétérogène, faisant devenir Habel le gardien des cycles du temps Chronos/Saturne ; Kaîn /Soleil devient le centre du cercle des manifestations hétérogènes et matérielles, pendant qu’Habel/Saturne devient le centre des manifestations homogènes et spirituelles. Cette séparation est à l’origine de la création hétérogène des substances adamiques qui depuis prolifèrent. Ce Nombre Dix-Neuf est le premier de notre septième et dernier ternaire concernant les Arcanes majeurs (19-20-21), cette première position en fait un Nombre de la Providence, ce que confirme une nouvelle fois sa réduction théosophique (1+9 = 10). L’addition théosophique des Dix-Neuf premiers Nombres nous donne 190, et sa réduction théosophique 10, une déclinaison du Un la Providence.
La Pierre Philosophale consiste à avoir découvert l’absolu, et dans l’Art de la science hermétique, pour parvenir à cette Pierre Philosophale il faut pratiquer l’analogie des contraires, cette voie du juste milieu qui est un retour à l’homogène, comme lorsque Kaîn et Habel était unis en tant que frère jumeaux. Ici encore nous devons nous reporter à cette loi d’Hermès énoncée dans les Tables d’Emeraude :
Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut et ce qui est en haut est comme ce qui est en bas ;
pour faire les miracles d’une seule chose.
Le Soleil de l’intelligence et de l’illumination brillera pour ceux qui auront su, par la science hermétique, faire l’analogie des contraires pour réunir en Conscience ce qui est en bas d’avec ce qui est en haut pour lui redonner sa cohérence et son harmonie originelle. Ce retour à l’homogène est nécessairement l’union de la Foi et de la Raison, de l’inconscience et de la Conscience, de la volonté et de la Providence. Si Kaîn est le Soleil qui a son apogée à Midi, Habel/Saturne est ce soleil qui a son apogée à Minuit. Dans les Métamorphoses d’Apulée, ce dernier résume sa grande veillée au temple d’Isis de la façon suivante :
J’approchai des limites du trépas ; je foulai du pied le seuil de Proserpine, et j’en revins en passant par tous les éléments ; au milieu de la nuit je vis le soleil briller de son éblouissant éclat ; je m’approchai des dieux infernaux et des dieux célestes ; je les contemplai face à face ; je les adorai de près.
Pour comprendre l’étendue des puissances de ce Nombre Dix-Neuf, la relecture chapitre IV, de Kaîn/Soleil et Habel/Saturne est incontournable. Les lames du livre de Thoth constituent la Cabbale Mère Universelle des Tables de la Loi du Sépher de Moïse, chaque arcane devient vivant lorsqu’il est correctement et spirituellement relié à sa source qui l’illumine des mille feux de sa Révélation.
Dans la représentation hiéroglyphique de ce Nombre Dix-Neuf, dans la lame du livre de Thoth, nous voyons Le Soleil à son zénith au-dessus de deux enfants, l’un mâle et l’autre femelle et qui se réunissent par les bras, symbolisant ce mariage alchimique des contraires, et la réunion d’Adam et Ève, de l’époux et l’épouse du Cantique des cantiques de Salomon, ce retour à l’androgyne qui est l’état homogène de la Conscience. À leurs pieds un parterre fleuri en forme de cercle, indique la sortie possible du cycle des réincarnations par ce retour à l’homogène (l’Universel). La maîtrise des Dix-Huit premiers Nombres, et leur synthèse par l’analogie des contraires fait de ce Nombre Dix-Neuf, celui de la Sagesse, l’intelligence en action par la maîtrise des Puissances et des Vertus.
La sentence du Tao-Tô-King pour illustrer ce Nombre Dix-neuf est la suivant :
Si une haute fonction m’était confiée, voici ce que je voudrais enseigner :
Suivez la voie, et craignez de vous en écarter.
La grande voie est toute simple ;
Mais la multitude préfère divaguer sur des chemins de traverses.
Sur des raccourcis qui sont des impasses.
Un palais superbe se dresse devant vous, mais son apparence est illusoire.
Regarde : Alentour les champs sont en friche.
Ce n’est qu’herbe folle.
Et les greniers sont vides. Se vêtir d’habits somptueux, se ceindre d’épées étincelantes,
festoyer alors qu’on n’a plus faim, ne plus savoir où serrer ses richesses,
c’est glorifier le vol et le mensonge.
Ceci est bien loin du Tao.
Le Nombre Dix-Neuf a pour lettre hébraïque Koph, nom divin Kodesch (saint).
Vocabulaire radical de La langue hébraïque restituée :
Ce caractère appartient, en qualité de consonne, à la touche gutturale. Comme image symbolique, il représente une arme tranchante, tout ce qui sert d’instrument à l’homme, le défend, fait effort pour lui. On a déjà remarqué avant moi, que presque tous les mots qui tiennent à cette consonne, dans la plupart des idiomes, désignent la force et la contrainte. C’est, dans la langue hébraïque, le signe compressif et tranchant ; celui de la force agglomérante ou réprimante. C’est le caractère Caph entièrement matérialisé ; car voici la progression des signes : Hé, principe vocal, signe de la vie absolue : Heth, principe aspiratif, signe de l’existence élémentaire : Guimel, principe guttural, signe organique : Caph, même principe, plus renforcé, signe de l’existence assimilée, tenant aux formes seules : Koph, même principe très renforcé, signe de l’existence matérielle mécanique, donnant le moyen des formes. Son nombre arithmétique est 100
Le Soleil.
Le Nombre 19.
Le Nombre Dix-Neuf, le Soleil dans le livre de Thoth, est aussi la planète Habel/Saturne. Et pour comprendre ce qui apparaît comme un paradoxe d’attribuer Saturne à la lame du Soleil, il convient de se rapporter au chapitre IV, des Tables de la Loi qui nous indique clairement qu’Habel est bel et bien le frère jumeau de Kaîn/Soleil le Nombre Quatre, et la lame Quatre, l’Empereur dans le livre de Thoth. Comme il est expliqué dans ce chapitre, Kaîn/Soleil n’a pas tué Habel/Saturne, et comment pourrait-on tuer ce qui par essence est immortel..., mais il l’a sorti de la sphère organique temporelle en passant de l’homogène à l’hétérogène, faisant devenir Habel le gardien des cycles du temps Chronos/Saturne ; Kaîn /Soleil devient le centre du cercle des manifestations hétérogènes et matérielles, pendant qu’Habel/Saturne devient le centre des manifestations homogènes et spirituelles. Cette séparation est à l’origine de la création hétérogène des substances adamiques qui depuis prolifèrent. Ce Nombre Dix-Neuf est le premier de notre septième et dernier ternaire concernant les Arcanes majeurs (19-20-21), cette première position en fait un Nombre de la Providence, ce que confirme une nouvelle fois sa réduction théosophique (1+9 = 10). L’addition théosophique des Dix-Neuf premiers Nombres nous donne 190, et sa réduction théosophique 10, une déclinaison du Un la Providence.
La Pierre Philosophale consiste à avoir découvert l’absolu, et dans l’Art de la science hermétique, pour parvenir à cette Pierre Philosophale il faut pratiquer l’analogie des contraires, cette voie du juste milieu qui est un retour à l’homogène, comme lorsque Kaîn et Habel était unis en tant que frère jumeaux. Ici encore nous devons nous reporter à cette loi d’Hermès énoncée dans les Tables d’Emeraude :
Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut et ce qui est en haut est comme ce qui est en bas ;
pour faire les miracles d’une seule chose.
Le Soleil de l’intelligence et de l’illumination brillera pour ceux qui auront su, par la science hermétique, faire l’analogie des contraires pour réunir en Conscience ce qui est en bas d’avec ce qui est en haut pour lui redonner sa cohérence et son harmonie originelle. Ce retour à l’homogène est nécessairement l’union de la Foi et de la Raison, de l’inconscience et de la Conscience, de la volonté et de la Providence. Si Kaîn est le Soleil qui a son apogée à Midi, Habel/Saturne est ce soleil qui a son apogée à Minuit. Dans les Métamorphoses d’Apulée, ce dernier résume sa grande veillée au temple d’Isis de la façon suivante :
J’approchai des limites du trépas ; je foulai du pied le seuil de Proserpine, et j’en revins en passant par tous les éléments ; au milieu de la nuit je vis le soleil briller de son éblouissant éclat ; je m’approchai des dieux infernaux et des dieux célestes ; je les contemplai face à face ; je les adorai de près.
Pour comprendre l’étendue des puissances de ce Nombre Dix-Neuf, la relecture chapitre IV, de Kaîn/Soleil et Habel/Saturne est incontournable. Les lames du livre de Thoth constituent la Cabbale Mère Universelle des Tables de la Loi du Sépher de Moïse, chaque arcane devient vivant lorsqu’il est correctement et spirituellement relié à sa source qui l’illumine des mille feux de sa Révélation.
Dans la représentation hiéroglyphique de ce Nombre Dix-Neuf, dans la lame du livre de Thoth, nous voyons Le Soleil à son zénith au-dessus de deux enfants, l’un mâle et l’autre femelle et qui se réunissent par les bras, symbolisant ce mariage alchimique des contraires, et la réunion d’Adam et Ève, de l’époux et l’épouse du Cantique des cantiques de Salomon, ce retour à l’androgyne qui est l’état homogène de la Conscience. À leurs pieds un parterre fleuri en forme de cercle, indique la sortie possible du cycle des réincarnations par ce retour à l’homogène (l’Universel). La maîtrise des Dix-Huit premiers Nombres, et leur synthèse par l’analogie des contraires fait de ce Nombre Dix-Neuf, celui de la Sagesse, l’intelligence en action par la maîtrise des Puissances et des Vertus.
La sentence du Tao-Tô-King pour illustrer ce Nombre Dix-neuf est la suivant :
Si une haute fonction m’était confiée, voici ce que je voudrais enseigner :
Suivez la voie, et craignez de vous en écarter.
La grande voie est toute simple ;
Mais la multitude préfère divaguer sur des chemins de traverses.
Sur des raccourcis qui sont des impasses.
Un palais superbe se dresse devant vous, mais son apparence est illusoire.
Regarde : Alentour les champs sont en friche.
Ce n’est qu’herbe folle.
Et les greniers sont vides. Se vêtir d’habits somptueux, se ceindre d’épées étincelantes,
festoyer alors qu’on n’a plus faim, ne plus savoir où serrer ses richesses,
c’est glorifier le vol et le mensonge.
Ceci est bien loin du Tao.
Le Nombre Dix-Neuf a pour lettre hébraïque Koph, nom divin Kodesch (saint).
Vocabulaire radical de La langue hébraïque restituée :
Ce caractère appartient, en qualité de consonne, à la touche gutturale. Comme image symbolique, il représente une arme tranchante, tout ce qui sert d’instrument à l’homme, le défend, fait effort pour lui. On a déjà remarqué avant moi, que presque tous les mots qui tiennent à cette consonne, dans la plupart des idiomes, désignent la force et la contrainte. C’est, dans la langue hébraïque, le signe compressif et tranchant ; celui de la force agglomérante ou réprimante. C’est le caractère Caph entièrement matérialisé ; car voici la progression des signes : Hé, principe vocal, signe de la vie absolue : Heth, principe aspiratif, signe de l’existence élémentaire : Guimel, principe guttural, signe organique : Caph, même principe, plus renforcé, signe de l’existence assimilée, tenant aux formes seules : Koph, même principe très renforcé, signe de l’existence matérielle mécanique, donnant le moyen des formes. Son nombre arithmétique est 100
Les lettres hébraïques : des énergies vivantes 7
par Annik De Souzenelle
Compte rendu de la rencontre du 10.1.1980
Plus nous avançons, plus les lettres sont chargées et plus nous pouvons appréhender cette langue extraordinaire.
Nous approchons aujourd’hui une autre lettre fort importante, le QOF qui a pour valeur 100. Cela nous met évidemment en harmonie avec la lettre qui a pour valeur 1, c’est-à-dire le Aleph, leYod qui a pour valeur 10 et même le Aleph final qui pour valeur 1000. Nous entrons à nouveau dans l’unité. Entrer dans l’unité avec le 100 est une chose difficile à appréhender parce que nous pénétrons dans des qualités intérieures qui nous échappent de plus en plus. Si nous n’abordons pas cette lettre avec des mains purifiées, nous pourrons être scandalisés au niveau de notre entendement immédiat.
QOF a plusieurs significations. D’une part il veut dire « le singe », le petit animal curieux et très étrange. Et d’autre part il veut dire ou plutôt c’est QOFITS qui veut dire « la hache », « le hachoir », mais aussi « le chas de l’aiguille ». L’hiéroglyphe de la lettre est une hache double, la fameuse hache de Cnossos. Puis la lettre se penchera de côté et elle donnera en français notre lettre Q. C’est pour cela que les mots qui commencent par un QOF en hébreux, ne devraient pas s’écrire avec un K ; comme par exemple Qabale dont l’orthographe devrait être celui-ci. Le K correspond au KAPH, le creux de la main.
Même si nous ne nous en rendons pas compte tout de suite, il y a pourtant une correspondance étroite entre les significations du QOF, recouvertes par une seule énergie. Quel est le symbolisme du singe dans les différentes traditions ? Le monde animal est un monde extrêmement signifiant. Or le singe, si nous faisons la synthèse du symbole qu’il représente, c’estla sagesse, mais une sagesse qui nous dépasse tellement, que ce sera sous les facéties du singe que nous allons être obligés de l’appréhender, sous cette espèce de singerie qui aide à faire passer un message. L’humour est un peu le symbole de cette vraie sagesse qui peut être scandaleuse pour nous, parce qu’elle est tellement folie à nos yeux. Comme a dit l’Apôtre Paul : «La sagesse de Dieu est folie pour les hommes. Et si tu crois être sage selon le monde, deviens fou. Alors tu entreras dans la sagesse divine ». L’homme totalement accompli, SAKOL, c’est aussi le mot qui veut dire « le fou ». Le Prophète, celui qui voit les cieux ouverts et non celui qui lit dans l’avenir, commence à être cette folie-là. Là il n’y a plus de temps, on est dans un non-temps aussi bien que dans le passé, le présent et l’avenir.
Dans tout l’Orient, ce petit singe représente la sagesse sous forme de trois petits singes dont l’un se bouche les yeux, l’autre la bouche et le troisième les oreilles. C’est le symbole de celui qui ferme ses sens à l’appréhension du monde extérieur pour entrer dans un monde intérieur. C’est cela la vraie sagesse. Il ne s’agit pas de nier le monde extérieur, il nous sert de tremplin, mais il faut que nous allions au-delà, dans un monde beaucoup plus subtil.
Chez les Hébreux, qui est le Sage par excellence ? C’est Salomon de réputation mondiale, à tel point que la mystérieuse Reine de Saba va venir non pas pour une visite de royaume à royaume, mais pour vérifier cette sagesse. Et quand elle l’a vérifiée, elle s’incline devant Salomon et elle dit : « Véritablement, celui-là est le plus sage de tous les sages ». Et à partir de ce moment-là, tous les ans elle lui fait envoyer des cadeaux qui consistent en de l’or, de l’encens, de l’ivoire, des singes et des paons. Ce sont les cinq attributs de la sagesse. L’ivoire, c’est la dent de l’éléphant, et l’éléphant est aussi symbole de sagesse. En Inde, Ganesha est ce dieu-éléphant qui monte un rat. D’après notre sagesse ce serait plutôt le rat qui monterait l’éléphant ! Mais là tout est inversé. Le rat est symbole de l’intelligence subtile qui s’immisce partout, qui va prendre connaissance de tout. Or sagesse et intelligence sont inséparables. Ce sont les deux Séphiroth qui sont à la base du triangle supérieur de l’Arbre des Séphiroth. Toute intelligence nous conduit à une sagesse et une intelligence divine nous fait entrer dans une sagesse divine. Et Ganesha est celui qui pénètre, grâce au rat qui l’accompagne, les éléments les plus subtils du monde et qui incarne cette sagesse qui dépasse tout.
Il est intéressant de faire se rejoindre les paons et les Chérubins qui, dans la symbolique chrétienne, sont représentés par de grandes roues avec des yeux tout autour. Le paon est exactement comme cela. Les Chérubins sont des Archanges qui gardent le Jardin d’Éden, la dernière porte. Et tout se retrouve dans le symbole du chas de l’aiguille qui est aussi la dernière porte.
C’est grâce à notre énergie intérieure que nous allons passer par les portes successives du QOF qui est le chas de l’aiguille, la dernière porte.
Cette lettre aussi est allée trouver le Saint-Béni-Soit-Il pour prétendre commencer la création du Monde, en se basant sur le mot QADOSH qui veut dire « le Saint » et elle a été renvoyée, parce que, dit le Saint-Béni-Soit-Il, « tu fais partie du mot SHEQER qui veut dire « mensonge ». Le QOF est entouré par le SHIN et le REICH qui, réunis, forment le nom de SARAH, SAR étantle prince ou la princesse. Qu’est-ce que cela veut dire par rapport au mensonge ? C’est là que nous pénétrons dans le scandale, car nous ne pouvons appréhender le mensonge que si nous comprenons que la vérité est absolument inappréhendable. Ce n’est qu’à travers des morts et des résurrections successives que nous pouvons aller vers la vérité. Ce qui est vérité pour nous aujourd’hui sera mensonge lorsque nous aurons franchi un nouveau pas vers une autre vérité. La vérité est au-delà de la vérité et du mensonge et pour le comprendre il ne faut pas que nous restions enfermés dans notre petit plan de conscience actuel.
C’est dans cette perspective que nous abordons aussi le problème de la ruse. Le Christ Lui-même va louer l’économe infidèle et dire : « Ah ! si les enfants de lumière étaient aussi rusés que les enfants des ténèbres ! » Cette ruse nous pouvons un peu la comprendre grâce au Tsadé, l’hameçon. Quelle ruse qu’un hameçon pour aller chercher un poisson ! Pour nous c’est la même chose : il y a une ruse dans l’hameçon qui nous est tendu pour que nous avancions plus loin. Et la toute première ruse est celle du serpent en Éden. Le mot AROM employé dans la Bible signifie à la fois « la ruse », « la connaissance » et aussi « la nudité ». La nudité, c’est la connaissance totale, c’est le parfait miroir de la connaissance divine. Et le serpent, « le plus rusé de tous les animaux », sait parfaitement le chemin que l’homme et la femme ont à accomplir et il va se faire barrière sur ce chemin. C’est là toute l’histoire de la chute.
A. de Souzenelle nous cite quelques exemples de ruses « fécondes » : Jacob et le droit d’aînesse, Tamar qui met au monde l’enfant engendré par son beau-père ou plutôt les jumeaux dont l’un, Peretz, sera l’ancêtre du Christ.
Quand on dit que « Dieu sonde les reins et les cœurs », le QOF est encore présent dans le motHAQOR qui signifie « sonder ». Cette sagesse c’est la sonde divine, c’est elle qui nous alimente qui nous nourrit. Dans HAQOR, les deux lettres qui entourent le QOF forment le mot HOR qui veut dire « caverne ». La sonde, c’est la descente dans la caverne.
On retrouve le QOF dans le mot MAQOM, le « lien » et qui est aussi un des noms de Dieu. Quand après la séparation des eaux du bas et ensuite de ceux d’en-haut, Dieu dit : « Que les eaux se rassemblent dans un lieu UN : EL HAQOM ERAD, quel est ce lieu dans le complexe espace-temps ? C’est le symbole extérieur du lieu intérieur, de notre espace intérieur, de notre champ de conscience, de ce dernier lieu que nous avons à atteindre, le MI divin où il n’y a plus ni temps, ni espace.
Dans RAQIA dont il est question le deuxième jour, lorsque Dieu sépare les eaux d’en-haut et qui signifie « étendue » le QOF au milieu est entourée par le Reich et le Ayin qui, en formant le motRa que nous traduisons à tort par « le mal », signifie ce qui est encore dans la ténèbre. Toute création a pour but de faire émerger la ténèbre dans la lumière et c’est cette étendue qu’on appelle CHAMAIM où le mot MAIM, les eaux, est reconstitué.
Le vrai nom de Jacob est YAAQOV. Ce mot est formé sur le mot AQOB, le talon. Or le talon est un endroit extrêmement important dans le corps, il est symboliquement celui qui contient toutes les énergies. Et c’est pour cela que Jacob à sa naissance et à celle de son frère Esaü, tient dans sa main le talon de ce dernier, c’est-à-dire qu’il va prendre en main toutes les énergies qui sont en réserve dans le talon de son frère. Et pour cela il va passer par la ruse. Dans le mot AQOB, QOF perce le AV, le nuage, c’est-à-dire les voiles qui nous séparent de la lumière, qui nous séparent du Père, lorsqu’on l’écrit non avec un Ayin, mais un Aleph.
Un autre mot à connaître est QABALE qui vient du mot QABEL, « recevoir ». QAB veut dire uncontenant que nous retrouvons, venu de l’arabe directement de l’hébreu, dans notre mot « Cabas ». C’est le ventre, c’est la matrice et QABEL qui s’écrit avec un Lamed, signifie que tout est mouvement, c’est recevoir. Alors la QABALA des Hébreux, c’est le contenant de la Tradition, qui s’est identifié à la tradition.
En supprimant la lettre du milieu, nous obtenons QOL, la voix divine qui va parler et qu’il ne faut pas confondre avec Kal qui est le tout, la totalité.
Nous parlerons du mot QEDER, l’Orient et aussi l’éternité, quand nous étudierons le Mem final. Dans Qedam nous avons QOM, le verbe venir dans un sens très fort, qui veut dire se dresser et qui est employé pour exprimer la résurrection.
La prochaine fois aussi je vous parlerai lorsque nous étudierons le REICH, d’un mot qui est fait avec le QOF : NIQBA, mot très important qui veut dire « femelle ».
Ce soir nous avons touché une lettre de grande importance, une de celles qui commencent à nous dépasser. Nous sommes encore dans une toute petite intelligence des choses. L’intelligence divine dépasse tout, de même que la sagesse à laquelle nous sommes invités à participer. Nous recevons la vérité qu’en tant que nous pouvons la supporter et à chaque fois que nous la supportons, nous allons plus loin, vers d’autres vérités non encore atteintes.
par Annik De Souzenelle
Compte rendu de la rencontre du 10.1.1980
Plus nous avançons, plus les lettres sont chargées et plus nous pouvons appréhender cette langue extraordinaire.
Nous approchons aujourd’hui une autre lettre fort importante, le QOF qui a pour valeur 100. Cela nous met évidemment en harmonie avec la lettre qui a pour valeur 1, c’est-à-dire le Aleph, leYod qui a pour valeur 10 et même le Aleph final qui pour valeur 1000. Nous entrons à nouveau dans l’unité. Entrer dans l’unité avec le 100 est une chose difficile à appréhender parce que nous pénétrons dans des qualités intérieures qui nous échappent de plus en plus. Si nous n’abordons pas cette lettre avec des mains purifiées, nous pourrons être scandalisés au niveau de notre entendement immédiat.
QOF a plusieurs significations. D’une part il veut dire « le singe », le petit animal curieux et très étrange. Et d’autre part il veut dire ou plutôt c’est QOFITS qui veut dire « la hache », « le hachoir », mais aussi « le chas de l’aiguille ». L’hiéroglyphe de la lettre est une hache double, la fameuse hache de Cnossos. Puis la lettre se penchera de côté et elle donnera en français notre lettre Q. C’est pour cela que les mots qui commencent par un QOF en hébreux, ne devraient pas s’écrire avec un K ; comme par exemple Qabale dont l’orthographe devrait être celui-ci. Le K correspond au KAPH, le creux de la main.
Même si nous ne nous en rendons pas compte tout de suite, il y a pourtant une correspondance étroite entre les significations du QOF, recouvertes par une seule énergie. Quel est le symbolisme du singe dans les différentes traditions ? Le monde animal est un monde extrêmement signifiant. Or le singe, si nous faisons la synthèse du symbole qu’il représente, c’estla sagesse, mais une sagesse qui nous dépasse tellement, que ce sera sous les facéties du singe que nous allons être obligés de l’appréhender, sous cette espèce de singerie qui aide à faire passer un message. L’humour est un peu le symbole de cette vraie sagesse qui peut être scandaleuse pour nous, parce qu’elle est tellement folie à nos yeux. Comme a dit l’Apôtre Paul : «La sagesse de Dieu est folie pour les hommes. Et si tu crois être sage selon le monde, deviens fou. Alors tu entreras dans la sagesse divine ». L’homme totalement accompli, SAKOL, c’est aussi le mot qui veut dire « le fou ». Le Prophète, celui qui voit les cieux ouverts et non celui qui lit dans l’avenir, commence à être cette folie-là. Là il n’y a plus de temps, on est dans un non-temps aussi bien que dans le passé, le présent et l’avenir.
Dans tout l’Orient, ce petit singe représente la sagesse sous forme de trois petits singes dont l’un se bouche les yeux, l’autre la bouche et le troisième les oreilles. C’est le symbole de celui qui ferme ses sens à l’appréhension du monde extérieur pour entrer dans un monde intérieur. C’est cela la vraie sagesse. Il ne s’agit pas de nier le monde extérieur, il nous sert de tremplin, mais il faut que nous allions au-delà, dans un monde beaucoup plus subtil.
Chez les Hébreux, qui est le Sage par excellence ? C’est Salomon de réputation mondiale, à tel point que la mystérieuse Reine de Saba va venir non pas pour une visite de royaume à royaume, mais pour vérifier cette sagesse. Et quand elle l’a vérifiée, elle s’incline devant Salomon et elle dit : « Véritablement, celui-là est le plus sage de tous les sages ». Et à partir de ce moment-là, tous les ans elle lui fait envoyer des cadeaux qui consistent en de l’or, de l’encens, de l’ivoire, des singes et des paons. Ce sont les cinq attributs de la sagesse. L’ivoire, c’est la dent de l’éléphant, et l’éléphant est aussi symbole de sagesse. En Inde, Ganesha est ce dieu-éléphant qui monte un rat. D’après notre sagesse ce serait plutôt le rat qui monterait l’éléphant ! Mais là tout est inversé. Le rat est symbole de l’intelligence subtile qui s’immisce partout, qui va prendre connaissance de tout. Or sagesse et intelligence sont inséparables. Ce sont les deux Séphiroth qui sont à la base du triangle supérieur de l’Arbre des Séphiroth. Toute intelligence nous conduit à une sagesse et une intelligence divine nous fait entrer dans une sagesse divine. Et Ganesha est celui qui pénètre, grâce au rat qui l’accompagne, les éléments les plus subtils du monde et qui incarne cette sagesse qui dépasse tout.
Il est intéressant de faire se rejoindre les paons et les Chérubins qui, dans la symbolique chrétienne, sont représentés par de grandes roues avec des yeux tout autour. Le paon est exactement comme cela. Les Chérubins sont des Archanges qui gardent le Jardin d’Éden, la dernière porte. Et tout se retrouve dans le symbole du chas de l’aiguille qui est aussi la dernière porte.
C’est grâce à notre énergie intérieure que nous allons passer par les portes successives du QOF qui est le chas de l’aiguille, la dernière porte.
Cette lettre aussi est allée trouver le Saint-Béni-Soit-Il pour prétendre commencer la création du Monde, en se basant sur le mot QADOSH qui veut dire « le Saint » et elle a été renvoyée, parce que, dit le Saint-Béni-Soit-Il, « tu fais partie du mot SHEQER qui veut dire « mensonge ». Le QOF est entouré par le SHIN et le REICH qui, réunis, forment le nom de SARAH, SAR étantle prince ou la princesse. Qu’est-ce que cela veut dire par rapport au mensonge ? C’est là que nous pénétrons dans le scandale, car nous ne pouvons appréhender le mensonge que si nous comprenons que la vérité est absolument inappréhendable. Ce n’est qu’à travers des morts et des résurrections successives que nous pouvons aller vers la vérité. Ce qui est vérité pour nous aujourd’hui sera mensonge lorsque nous aurons franchi un nouveau pas vers une autre vérité. La vérité est au-delà de la vérité et du mensonge et pour le comprendre il ne faut pas que nous restions enfermés dans notre petit plan de conscience actuel.
C’est dans cette perspective que nous abordons aussi le problème de la ruse. Le Christ Lui-même va louer l’économe infidèle et dire : « Ah ! si les enfants de lumière étaient aussi rusés que les enfants des ténèbres ! » Cette ruse nous pouvons un peu la comprendre grâce au Tsadé, l’hameçon. Quelle ruse qu’un hameçon pour aller chercher un poisson ! Pour nous c’est la même chose : il y a une ruse dans l’hameçon qui nous est tendu pour que nous avancions plus loin. Et la toute première ruse est celle du serpent en Éden. Le mot AROM employé dans la Bible signifie à la fois « la ruse », « la connaissance » et aussi « la nudité ». La nudité, c’est la connaissance totale, c’est le parfait miroir de la connaissance divine. Et le serpent, « le plus rusé de tous les animaux », sait parfaitement le chemin que l’homme et la femme ont à accomplir et il va se faire barrière sur ce chemin. C’est là toute l’histoire de la chute.
A. de Souzenelle nous cite quelques exemples de ruses « fécondes » : Jacob et le droit d’aînesse, Tamar qui met au monde l’enfant engendré par son beau-père ou plutôt les jumeaux dont l’un, Peretz, sera l’ancêtre du Christ.
Quand on dit que « Dieu sonde les reins et les cœurs », le QOF est encore présent dans le motHAQOR qui signifie « sonder ». Cette sagesse c’est la sonde divine, c’est elle qui nous alimente qui nous nourrit. Dans HAQOR, les deux lettres qui entourent le QOF forment le mot HOR qui veut dire « caverne ». La sonde, c’est la descente dans la caverne.
On retrouve le QOF dans le mot MAQOM, le « lien » et qui est aussi un des noms de Dieu. Quand après la séparation des eaux du bas et ensuite de ceux d’en-haut, Dieu dit : « Que les eaux se rassemblent dans un lieu UN : EL HAQOM ERAD, quel est ce lieu dans le complexe espace-temps ? C’est le symbole extérieur du lieu intérieur, de notre espace intérieur, de notre champ de conscience, de ce dernier lieu que nous avons à atteindre, le MI divin où il n’y a plus ni temps, ni espace.
Dans RAQIA dont il est question le deuxième jour, lorsque Dieu sépare les eaux d’en-haut et qui signifie « étendue » le QOF au milieu est entourée par le Reich et le Ayin qui, en formant le motRa que nous traduisons à tort par « le mal », signifie ce qui est encore dans la ténèbre. Toute création a pour but de faire émerger la ténèbre dans la lumière et c’est cette étendue qu’on appelle CHAMAIM où le mot MAIM, les eaux, est reconstitué.
Le vrai nom de Jacob est YAAQOV. Ce mot est formé sur le mot AQOB, le talon. Or le talon est un endroit extrêmement important dans le corps, il est symboliquement celui qui contient toutes les énergies. Et c’est pour cela que Jacob à sa naissance et à celle de son frère Esaü, tient dans sa main le talon de ce dernier, c’est-à-dire qu’il va prendre en main toutes les énergies qui sont en réserve dans le talon de son frère. Et pour cela il va passer par la ruse. Dans le mot AQOB, QOF perce le AV, le nuage, c’est-à-dire les voiles qui nous séparent de la lumière, qui nous séparent du Père, lorsqu’on l’écrit non avec un Ayin, mais un Aleph.
Un autre mot à connaître est QABALE qui vient du mot QABEL, « recevoir ». QAB veut dire uncontenant que nous retrouvons, venu de l’arabe directement de l’hébreu, dans notre mot « Cabas ». C’est le ventre, c’est la matrice et QABEL qui s’écrit avec un Lamed, signifie que tout est mouvement, c’est recevoir. Alors la QABALA des Hébreux, c’est le contenant de la Tradition, qui s’est identifié à la tradition.
En supprimant la lettre du milieu, nous obtenons QOL, la voix divine qui va parler et qu’il ne faut pas confondre avec Kal qui est le tout, la totalité.
Nous parlerons du mot QEDER, l’Orient et aussi l’éternité, quand nous étudierons le Mem final. Dans Qedam nous avons QOM, le verbe venir dans un sens très fort, qui veut dire se dresser et qui est employé pour exprimer la résurrection.
La prochaine fois aussi je vous parlerai lorsque nous étudierons le REICH, d’un mot qui est fait avec le QOF : NIQBA, mot très important qui veut dire « femelle ».
Ce soir nous avons touché une lettre de grande importance, une de celles qui commencent à nous dépasser. Nous sommes encore dans une toute petite intelligence des choses. L’intelligence divine dépasse tout, de même que la sagesse à laquelle nous sommes invités à participer. Nous recevons la vérité qu’en tant que nous pouvons la supporter et à chaque fois que nous la supportons, nous allons plus loin, vers d’autres vérités non encore atteintes.